"Il est l’heure, la salle est à moitié pleine, le bruit des conversations est encore présent. Sur la scène, une grande photographie de Pierre Etaix recouvre tout le mur. Le maquillage, le chapeau et le sourire. Cet homme a l’air chaleureux à nous qui ne le connaissons pas. Peu à peu, les lumières commencent à perdre de l’intensité. Seule la scène est éclairée. Enfin le silence. Un homme s’avance..."
La suite cette semaine dans la NR.
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