Paris : Musée d'art et d'Histoire du judaïsme




Art et histoire du Judaïsme.
Le judaïsme

La visite du musée commence par un somptueux escalier de marbre. En haut de cet escalier, il y a une pancarte expliquant l’intérêt des différences, de la diversité dans le monde.
La visite commence par la découverte de l’ancien testament et ce qu’il contient, avec l’explication d’un tableau en relief représentant Jérusalem, en terre promise, Israël.
La salle suivante est une reconstitution du cimetière juif trouvé à Paris : on apprend qu’il y avait une communauté juive à Paris en l’an 1000. Sur leurs pierres tombales, ils inscrivent les noms des parents du mort et non les informations sur le mort en personne.
Ensuite, la pièce était garnie de tableaux représentant les différentes fêtes juives. Nous avons surtout parlé de Pâques : les disciples du Christ, au soir de l’arrestation de Jésus, fêtaient la Pâques juive apprend-on. La Cène représente donc cette fête juive. Plus tard, la religion chrétienne reprendra cette fête juive : Pâques.

Antijudaïsme au Moyen-Age
Une année, en France, au Moyen-Age, un enfant a été trouvé mort dans une forêt. Suite à ça, une rumeur circula que les juifs tuaient les enfants et se servaient de leur sang pour faire le pain azhim. C’est le début des persécutions des juifs en France, pour cause d’antijudaïsme : on ne parle pas encore d’antisémitisme.

Antisémitisme
Pour atteindre l’exposition suivante, il fallait encore monter des escaliers (tout ce qu’on monte, nous devons le descendre). Nous avons traversé une pièce contenant plein d’habits. Je pense que c’était ceux qu’on imposait aux juifs de porter : de couleur jaune, pour les distinguer des autres citoyens et mieux les mettre à l’écart. Le guide ne s’est pas attardé là et a continué vers un couloir comportant plusieurs grandes histoires des juifs en France, comme l’affaire Dreyffus, des programmes électoraux visant à « se débarrasser de cette peste de juif ».
On remarque des affiches particulièrement racistes à l’égard des juifs, représentés par un homme maigre, au nez crochu, aux doigts fins et aux ongles longs, crochus : prêt à attraper l’argent des français (ce sont des affiches de propagande antisémite).
La visite s’est close par l’analyse d’une œuvre d’art extérieure. Elle est constituée de plusieurs « affiches » sur lesquelles sont inscrits les noms des personnes habitant dans l’hôtel particulier qui est maintenant le musée d’art et d’histoire du judaïsme : ces personnes ont, pour la plupart, été déportées pendant la seconde guerre mondiale, et victimes de la Shoah.
Romain Martin, 3ème5.

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