Au chômage technique, Z.E.P. tricote un plan de financement...


Qui a dit que les vacances des professeurs étaient chômées ? C'est en partie vrai, on a bel et bien coincé la bulle... Mais cela n'a duré qu'un temps : fini le farniente ! Au travail, les animateurs des classes journalisme... Comme le mentionnait la Nouvelle République il y a peu, il reste à trouver des financements pour l'impression et la diffusion des magazines "K'eskon attend" et "Z.E.P."...

Rien de plus simple, direz-vous ? Il s'agit de frapper à la bonne porte... C'est ce à quoi il faut à présent s'atteler : la recherche de mécènes !

Telle Pénélope tissant sa toile, "Z.E.P." tricote donc, en ces derniers jours de liberté avant le rush de la rentrée, un plan de financement pour qu'enfin le premier numéro voie le jour... et que les petits frères ne tardent pas.

Commentaires

Anonyme a dit…
J'espère plutôt que vous tissez comme l'araignée.Pénélope défaisait la nuit ce qu'elle avait fait le jour. Si vous faites comme elle, nous risquons de ne jamais voir votre journal, ça serai dommage.
Anonyme a dit…
Pertinente, Alice... La référence à Pénélope, c'était pour le besoin de l'image... Ou bien Ulysse serait-il le mécène ?
Nous tricotons un plan de financement, pas le journal Z.E.P. : lui sera prêt, à défaut d'être imprimé, il sera lisible sur le Net.
Espérons surtout que les mailles du tricot "plan de financement" ne seront pas trop lâches, que le tricot sera composé de mailles "endroit" uniquement, que Pénélope, enfin, n'a rien perdu de sa dextérité,de sa patience ni de sa ruse !
Anonyme a dit…
L'ennui, avec le tricot, c'est qu'il vient toujours à manquer une pelote de l'une ou l'autre des couleurs... La laine à bouclettes, c'est imprévisible, qu'on se le dise...
Comment ça, on dévie du sujet ? Nan, point du tout ! Imaginez que Pénélope ait manqué de fil : fi de la poésie du personnage...
Anonyme a dit…
Zep, le journal qui tient chaud... C'est un slogan. Des mitaines en couv finalement ?