On me voit, donc je suis

L'art de lever le voile... peu à peu. Savoir se faire attendre, se laisser désirer : laisser planer le mystère... et attendre encore... Puis encore. C'est tout féminin, ça ! Voilà, enfin, les premiers sourires des élèves (gent féminine) de la classe journalisme de George Sand : Corine, Margaux, Emilie, Alice et Morgane : "Souriez, vous serez bloggées !".

Voyez, on se matérialise : on existe, on est tout près et très impatients de rencontrer nos consoeurs et confrères de Descartes !

Un article ? Très vite, n'est-ce pas, Margaux ? A moins que Léa ? Romain ? Les idées ont été nombreuses, ce matin, il ne reste plus qu'à oser l'écriture.

Allez, un p'tit clic pour un grand blog !




Commentaires

Anonyme a dit…
J'ai fini mon article !
Je suis impatiente de le voir enfin sur ce blog ( si Vous êtes d'accord avec mon article ) !!
Patience, patience ...
Alors là, il faut parler d'un art consommé de l'effet d'attente. Un pied, du flou, des profils avant la vérité en face : à Descartes, on n'en pouvait plus d'espérer. Voile levé, les alizées peuvent souffler : le grand large vous attend. Rendez-vous à la prochaine escale.
Le Terrible a dit…
On va pas en faire un fromage! La NR ne cite pas notre collège et alors celà ne nous empêche pas d'exister. En plus, c'est un bon exemple à propos de la soi-disante objectivité des médias... Bonne chance à tous.
morgane a dit…
morgane (george sand)
c est pa grave si on parle pa de nous dan le journal parce k on prouve k on existe avec cette article!!!!!!!!!!!
Anonyme a dit…
tu as raison morgane il faut simposè ON EST ICI!!!! ET ON EXISTE!!
Anonyme a dit…
vive la france
Anonyme a dit…
vous avez raison les filles .il faut nous laissé faire george sand existe est on le prouvent.