On a le parrain, pas le nom


Le parrain sera là le 18 ! 15 petits jours pour trouver le nom de nos publications. Une sacrée responsabilité quand on connaît la portée du titre sur la personnalité du journal: Jaurès le savait,qui disait sa foi en l'homme en créant l'Humanité ; la presse catholique choisissait le symbole (La Croix), quand une autre confiait sa destinée à un personnage littéraire (Figaro). Aujourd'hui, on indique le lieu où on lit (Métro), le temps de lecture (20 minutes)mais on garde aussi les symboles forts (Marianne). Alors programme (Libération)? Sourire (Le Canard Enchaîné)? Ou ligne éditoriale (Aujourd'hui en France)? Nos jeunes journalistes ont comme première mission, dans leur première semaine, de comprendre qui ils sont et ce qu'ils veulent faire. C'est à ce prix qu'ils gagneront un nom...

Commentaires

Anonyme a dit…
Nous, à George Sand, on partage le parrain, vous pensez, un journaliste si impertinent, on aime. Par contre, on n'a ni le nom du filleul-journal , ni les élèves... Z'arriveront mercredi, épatés à coup sûr d'être accueillis dans une belle classe journalisme toute neuve, innovation pédagogique dernier cri, créee rien que pour eux.
S'pérons qu'ils sauront apprécier.
Oh ! ça sent le style Arfeuillere cet article, il n'a pas écrit 10 articles sur la foire au boudin pour rien. Avoir un collègue journaliste ça fait la différence.
Anonyme a dit…
Je pense qu'on va passer une bonne année dans cette classe journalisme.C'est assez amusant de se prendre pour de petits journalistes.La journée de la presse nous a déja fait vivre un petit bout de ce moment, en tout cas moi j'ai adoré cette journée c'était super simpa de travailler en groupe.
(je suis désolé , j'ai peut-être fait des fautes d'orthographes)